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Pour être inclus dans cet essai thérapeutique concernant la thrombolyse, les patients devaient avoir un début des signes d’accident vasculaire cérébral (AVC) ischémique datant de 4,5 à 9 heures, ou dans le cas où les signes étaient présents au réveil, être à moins de 9 heures de la moitié de la période de sommeil.  Il fallait également que l’imagerie montre une zone de parenchyme susceptible de bénéficier d’une reperfusion. L’évaluation reposait principalement sur une échelle de handicap (score modifié de Rankin) à 0 ou 1, soit l’absence de déficit ou un déficit minime à 90 jours d’évolution, ce qui a été plus fréquent dans le groupe « thrombolyse » que dans le groupe « placebo ». Il y avait plus d’hémorragies intracrâniennes symptomatiques dans le groupe « thrombolyse » (6,2 contre 0,9 %).N ENGL J MED 2019;380:1795-803.