Cette étude de cohorte a été menée sur une base de données (2007-2017) au Royaume-Uni. Ont été inclus les patients non diabétiques, débutant un 1er traitement antihypertenseur par inhibiteur de l’enzyme de conversion (IEC) ou sartan (87 440 patients), inhibiteur calcique (67 274 patients) ou diurétique thiazidique (22 040 patients). Après ajustement par utilisation d’un score de propension, la variation de la pression artérielle systolique a été évaluée après 12, 26 et 52 semaines. Des analyses stratifiées selon l’âge (plus ou moins de 55 ans) et l’origine ethnique (sujets de peau noire ou non) ont été menées. Il n’a pas été mis en évidence de supériorité des IEC/sartan comparés aux inhibiteurs calciques, quelle que soit l’origine ethnique. Chez les sujets de plus de 75 ans, une réduction plus importante de la pression artérielle systolique était observée chez ceux débutant un inhibiteur calcique
S. Rivière déclare n'avoir aucun lien d'intérêts.