1 Le cancer du sein est le cancer le plus fréquent chez la femme en France et dans le monde, avec environ 60 000 nouveaux cas estimés en France et représente 33 % des cancers féminins en France. Globalement, une augmentation d’incidence était observée dans les dernières années. Le taux de mortalité suit une évolution inverse du taux d’incidence, avec une diminution dans les dernières décades.
2 La mammographie est actuellement le seul test permettant un dépistage du cancer du sein. La véritable révolution sera de proposer à chaque femme une solution personnalisée, adaptée à son risque.
3 Compte-tenu de la fréquence importante du cancer du sein en population générale, le seul antécédent d’un autre cancer du sein dans la famille n’est pas suffisant pour stratifier le risque de cancer associé à une prédisposition génétique. Pour s’orienter, des scores de risque comme le score empirique d’Eisinger peuvent être utilisés. Ils s’appuient sur l’âge, le nombre et l’association éventuelle à d’autres cancers. Si ces critères sont remplis, une analyse constitutionnelle doit être proposée après consultation de génétique pour information préalable réglementaire. Le groupe Unicancer Génétique et Cancer (GGC) a retenu quatre gènes d’intérêt en plus de BRCA1 et BRCA2 : PALB2, TP53, CDH1 et PTEN.
4 Le pronostic du cancer du sein repose sur plusieurs facteurs, notamment le stade, le type histologique, le sous-type moléculaire. La prise en charge du cancer du sein précoce est fondée sur plusieurs stratégies combinées adaptées aux caractéristiques spécifiques de chaque cas : chirurgie, chimiothérapie, hormonothérapie, traitements ciblés et radiothérapie.
5 Avec l’amélioration de la survie, il est primordial d’assurer une meilleure coordination des soins et d’améliorer l’identification et la gestion des effets indésirables des traitements.
6 L’âge moyen du diagnostic de cancer du sein en France est de 63 ans, mais au moment du diagnostic 32 % des femmes ont moins de 55 ans et 20 % ont moins de 50 ans. Ainsi, une grande partie des patientes sont encore en âge de travailler, et la maladie impacte leur vie professionnelle. Il est donc essentiel de les accompagner dans leur retour au travail.
2 La mammographie est actuellement le seul test permettant un dépistage du cancer du sein. La véritable révolution sera de proposer à chaque femme une solution personnalisée, adaptée à son risque.
3 Compte-tenu de la fréquence importante du cancer du sein en population générale, le seul antécédent d’un autre cancer du sein dans la famille n’est pas suffisant pour stratifier le risque de cancer associé à une prédisposition génétique. Pour s’orienter, des scores de risque comme le score empirique d’Eisinger peuvent être utilisés. Ils s’appuient sur l’âge, le nombre et l’association éventuelle à d’autres cancers. Si ces critères sont remplis, une analyse constitutionnelle doit être proposée après consultation de génétique pour information préalable réglementaire. Le groupe Unicancer Génétique et Cancer (GGC) a retenu quatre gènes d’intérêt en plus de BRCA1 et BRCA2 : PALB2, TP53, CDH1 et PTEN.
4 Le pronostic du cancer du sein repose sur plusieurs facteurs, notamment le stade, le type histologique, le sous-type moléculaire. La prise en charge du cancer du sein précoce est fondée sur plusieurs stratégies combinées adaptées aux caractéristiques spécifiques de chaque cas : chirurgie, chimiothérapie, hormonothérapie, traitements ciblés et radiothérapie.
5 Avec l’amélioration de la survie, il est primordial d’assurer une meilleure coordination des soins et d’améliorer l’identification et la gestion des effets indésirables des traitements.
6 L’âge moyen du diagnostic de cancer du sein en France est de 63 ans, mais au moment du diagnostic 32 % des femmes ont moins de 55 ans et 20 % ont moins de 50 ans. Ainsi, une grande partie des patientes sont encore en âge de travailler, et la maladie impacte leur vie professionnelle. Il est donc essentiel de les accompagner dans leur retour au travail.