En France, le nombre de nouveaux cas d’hémopathies malignes est estimé à 45 000 par an (Santé publique France, données de 2018). Environ deux tiers des cas sont des hémopathies lymphoïdes (lymphomes de Hodgkin et lymphomes non hodgkiniens). Si les premiers – environ 2 000 nouveaux cas par an – sont parmi les cancers les plus curables, les seconds sont les plus fréquents, avec des formes multiples, des prises en charges et des pronostics très différents.
Relisez, à l’occasion de la journée mondiale des lymphomes, nos articles les plus récents à ce sujet.
À lire :
Choquet S. Lymphomes non hodgkiniens. Rev Prat Med Gen 2020;34(1044);501-5.
Rossi C, Ramla S, Robert P, et al. Lymphome hodgkinien. Rev Prat Med Gen 2020;34(1045);541-5.
Mounier N, Thieblemont C. La vie après un lymphome. Rev Prat Med Gen 2018;32(1007);656-7.
Itti E. Imagerie métabolique dans les hémopathies lymphoïdes. Rev Prat 2021;71(5);540-2.
Arnaud A, Gellée T. Lymphome à localisation orale. Rev Prat 2020;70(10);1107.
Frances P, Cavaillhes T, Besson T, et al. Pemphigus paranéoplasique secondaire à un lymphome de Hodgkin. Rev Prat Med Gen 2021;35(1055);147.
Rossi C, Ramla S, Robert P, et al. Lymphome hodgkinien. Rev Prat Med Gen 2020;34(1045);541-5.
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Frances P, Cavaillhes T, Besson T, et al. Pemphigus paranéoplasique secondaire à un lymphome de Hodgkin. Rev Prat Med Gen 2021;35(1055);147.
