I
Selon les signataires, faute d’un support légal, les plaintes des victimes (presque toujours des femmes) auprès de l’Ordre aboutissaient trop souvent à des relaxes, à des sanctions symboliques, voire à leur culpabilisation.
Sans vouloir jeter l’opprobre sur l’ensemble de la profession, ils souhaitaient que soient plus facilement sanctionnés
Et de demander à Agnès Buzyn (pour protéger les patientes mais aussi les médecins peu ou pas formés à ces risques) l’ajout d’un article spécifique :
le Conseil national de l’Ordre des médecins avait déjà pris des initiatives sur ce thème.
Aussi a-t-il très vite saisi l’importance qu’il convenait d’accorder à la demande des pétitionnaires. Et ce même si le code de déontologie disposait déjà, dans son article 2 :
mais de compléter la disposition existante relative au respect de la dignité de la personne. Et ce sans détour :
que pourront désormais utiliser les défenseurs des victimes – notamment quand est revendiquée par la partie adverse une relation sexuelle entre adultes consentants.
nous a expliqué le Dr Jean-Marie Faroudja, président de la section Éthique et déontologie du Cnom.
la conduite pratique lorsqu’on a connaissance d’agissements de ce type.
, précise le Dr Faroudja. Une démarche judicieuse que complètera un guide pratique destiné à celles et ceux qui estiment avoir été victimes d’une inconduite sexuelle de la part d’un médecin.
Selon les signataires, faute d’un support légal, les plaintes des victimes (presque toujours des femmes) auprès de l’Ordre aboutissaient trop souvent à des relaxes, à des sanctions symboliques, voire à leur culpabilisation.
Sans vouloir jeter l’opprobre sur l’ensemble de la profession, ils souhaitaient que soient plus facilement sanctionnés
Et de demander à Agnès Buzyn (pour protéger les patientes mais aussi les médecins peu ou pas formés à ces risques) l’ajout d’un article spécifique :
le Conseil national de l’Ordre des médecins avait déjà pris des initiatives sur ce thème.
Aussi a-t-il très vite saisi l’importance qu’il convenait d’accorder à la demande des pétitionnaires. Et ce même si le code de déontologie disposait déjà, dans son article 2 :
mais de compléter la disposition existante relative au respect de la dignité de la personne. Et ce sans détour :
que pourront désormais utiliser les défenseurs des victimes – notamment quand est revendiquée par la partie adverse une relation sexuelle entre adultes consentants.
nous a expliqué le Dr Jean-Marie Faroudja, président de la section Éthique et déontologie du Cnom.
la conduite pratique lorsqu’on a connaissance d’agissements de ce type.
, précise le Dr Faroudja. Une démarche judicieuse que complètera un guide pratique destiné à celles et ceux qui estiment avoir été victimes d’une inconduite sexuelle de la part d’un médecin.
1. Cnom. Harcèlement sexuel : l’Ordre des médecins encourage les victimes à porter plainte devant ses instances. Communication publique, 27 octobre 2017. https://bit.ly/2TPkoZu
2. Cnom. Engagé contre le harcèlement sexuel, l’Ordre des médecins fixe trois principes : transparence, prévention et sanction. Communication publique, 21 novembre 2017. https://bit.ly/2OfgR0F
2. Cnom. Engagé contre le harcèlement sexuel, l’Ordre des médecins fixe trois principes : transparence, prévention et sanction. Communication publique, 21 novembre 2017. https://bit.ly/2OfgR0F