La transfusion sanguine en France repose sur des dons bénévoles, gratuits et anonymes.
L’Établissement français du sang est l’opérateur civil unique de la transfusion en France, sa mission est d’assurer l’autosuffisance en produits sanguins labiles sur tout le territoire dans des conditions optimales de sécurité pour le donneur et le receveur.
Le donneur de sang et les associations de donneurs de sang bénévoles sont des maillons essentiels de la chaîne transfusionnelle.
Près de 50 % des patients sont transfusés dans le cadre de pathologies cancéreuses et onco-hématologiques. Chez l’enfant de moins de 15 ans, les hémoglobinopathies représentent la deuxième cause de transfusion.
L’hémovigilance, sous la responsabilité de l’Agence nationale du médicament et des produits de santé, est un système déclaratif des incidents et accidents de la chaîne transfusionnelle. Elle permet de renforcer et d’adapter les mesures sécuritaires. Tous les acteurs de la transfusion y contribuent.
Une étroite collaboration entre les prescripteurs et les professionnels de la transfusion est la clé de la juste utilisation des produits sanguins labiles et de la sécurité transfusionnelle des patients.
L’œdème aigu du poumon par surcharge volémique est le risque transfusionnel grave le plus fréquent. Il doit être prévenu par l’adaptation des volumes et du débit transfusionnel chez les patients à risque.
Le risque bactérien pour les concentrés de plaquettes est maintenant prévenu, par une méthode de traitement physico-chimique. La veille sanitaire permet de plus d’adapter les techniques biologiques de dépistage des agents infectieux chez les donneurs ainsi que les mesures d’ajournement au don.
Le risque immunologique, avec notamment la meilleure reconnaissance des accidents immuno-hémolytiques chez les patients drépanocytaires, peut être en partie prévenu par un lien fort entre l’immuno-hématologie et la délivrance, par la connaissance des antécédents transfusionnels et immuno-hématologiques des patients, et la recherche systématique des agglutinines irrégulières post-transfusionnelles un mois après la transfusion.
Un renforcement de l’enseignement de la transfusion sanguine au cours des études médicales est indispensable pour les futurs prescripteurs et pour le médecin généraliste, qui doit pouvoir informer son patient, surveiller et diagnostiquer de potentielles complications post-transfusionnelles.
L’Établissement français du sang est l’opérateur civil unique de la transfusion en France, sa mission est d’assurer l’autosuffisance en produits sanguins labiles sur tout le territoire dans des conditions optimales de sécurité pour le donneur et le receveur.
Le donneur de sang et les associations de donneurs de sang bénévoles sont des maillons essentiels de la chaîne transfusionnelle.
Près de 50 % des patients sont transfusés dans le cadre de pathologies cancéreuses et onco-hématologiques. Chez l’enfant de moins de 15 ans, les hémoglobinopathies représentent la deuxième cause de transfusion.
L’hémovigilance, sous la responsabilité de l’Agence nationale du médicament et des produits de santé, est un système déclaratif des incidents et accidents de la chaîne transfusionnelle. Elle permet de renforcer et d’adapter les mesures sécuritaires. Tous les acteurs de la transfusion y contribuent.
Une étroite collaboration entre les prescripteurs et les professionnels de la transfusion est la clé de la juste utilisation des produits sanguins labiles et de la sécurité transfusionnelle des patients.
L’œdème aigu du poumon par surcharge volémique est le risque transfusionnel grave le plus fréquent. Il doit être prévenu par l’adaptation des volumes et du débit transfusionnel chez les patients à risque.
Le risque bactérien pour les concentrés de plaquettes est maintenant prévenu, par une méthode de traitement physico-chimique. La veille sanitaire permet de plus d’adapter les techniques biologiques de dépistage des agents infectieux chez les donneurs ainsi que les mesures d’ajournement au don.
Le risque immunologique, avec notamment la meilleure reconnaissance des accidents immuno-hémolytiques chez les patients drépanocytaires, peut être en partie prévenu par un lien fort entre l’immuno-hématologie et la délivrance, par la connaissance des antécédents transfusionnels et immuno-hématologiques des patients, et la recherche systématique des agglutinines irrégulières post-transfusionnelles un mois après la transfusion.
Un renforcement de l’enseignement de la transfusion sanguine au cours des études médicales est indispensable pour les futurs prescripteurs et pour le médecin généraliste, qui doit pouvoir informer son patient, surveiller et diagnostiquer de potentielles complications post-transfusionnelles.