Un patient est hospitalisé en médecine physique et de réadaptation dans les suites d’une lésion médullaire traumatique au niveau de la vertèbre thoracique 8 (T8) après un accident de la voie publique.
L’évaluation du handicap ou du fonctionnement de ce patient à l’aide de la CIF conduit à l’analyse suivante :
– lésion d’une structure du système nerveux : lésion de la moelle épinière ;
– déficits des fonctions de l’appareil locomoteur, des fonctions génitosphinctériennes, des fonctions sensorielles, des fonctions du système digestif ;
– déficiences motrice (paraplégie), sensitive et douleur (anesthésie, douleurs neuropathiques), génito-sphinctériennes (rétention urinaire, incontinence urinaire, dysfonction érectile), digestive (constipation) ;
– limitations d’activité pour la marche, la continence, la miction, la défécation, l’activité sexuelle ;
– restriction de participation pour la vie sociale : par exemple, ne pas pouvoir entrer dans un restaurant qui a une ou plusieurs marches à son entrée (obstacle) malgré le fait que l’on peut propulser de façon autonome un fauteuil roulant (facilitateur). L’importance de l’environnement est ici évidente. Pour limiter cette situation de handicap, installer une rampe peut être proposé pour favoriser l’accès au restaurant.
L’évaluation du handicap se fait par un interrogatoire et un examen physique, à l’aide de différentes échelles : par exemple l’ASIA (American Spinal Injury Association) pour les déficiences, la MIF (mesure de l’indépendance fonctionnelle) pour les limitations d’activités et, si besoin, le test SF-36 pour une mesure de la qualité de vie. Une évaluation paraclinique du handicap périnéal sera réalisée par un bilan urodynamique.
L’évaluation du handicap ou du fonctionnement de ce patient à l’aide de la CIF conduit à l’analyse suivante :
– lésion d’une structure du système nerveux : lésion de la moelle épinière ;
– déficits des fonctions de l’appareil locomoteur, des fonctions génitosphinctériennes, des fonctions sensorielles, des fonctions du système digestif ;
– déficiences motrice (paraplégie), sensitive et douleur (anesthésie, douleurs neuropathiques), génito-sphinctériennes (rétention urinaire, incontinence urinaire, dysfonction érectile), digestive (constipation) ;
– limitations d’activité pour la marche, la continence, la miction, la défécation, l’activité sexuelle ;
– restriction de participation pour la vie sociale : par exemple, ne pas pouvoir entrer dans un restaurant qui a une ou plusieurs marches à son entrée (obstacle) malgré le fait que l’on peut propulser de façon autonome un fauteuil roulant (facilitateur). L’importance de l’environnement est ici évidente. Pour limiter cette situation de handicap, installer une rampe peut être proposé pour favoriser l’accès au restaurant.
L’évaluation du handicap se fait par un interrogatoire et un examen physique, à l’aide de différentes échelles : par exemple l’ASIA (American Spinal Injury Association) pour les déficiences, la MIF (mesure de l’indépendance fonctionnelle) pour les limitations d’activités et, si besoin, le test SF-36 pour une mesure de la qualité de vie. Une évaluation paraclinique du handicap périnéal sera réalisée par un bilan urodynamique.
