Dans ce contexte d’épidémie de Covid-19, et en raison du risque lié à la prise d’anti-inflammatoires non stéroïdiens, et ce quel que soit le contexte infectieux, l’Agence nationale du médicament rappelle les règles de bonne prescription du paracétamol.
Bien prescrit, le paracétamol reste la molécule à privilégier en cas de douleur et/ou de fièvre, notamment dans un contexte d’infection. Cependant en cas de surdosage, il peut entraîner des lésions graves du foie, irréversibles dans certains cas ; la mauvaise utilisation du paracétamol est la 1re cause de greffe hépatique d’origine médicamenteuse en France. Le terme « surdosage » s’entend par l’utilisation d’un dosage non adapté, une dose trop importante par prise ou par jour, et un délai minimum entre les prises non respecté.
La dose la plus faible doit toujours être proposée au patient et sur une durée la plus courte possible.
Respecter la dose maximale par prise (1 g), la dose maximale quotidienne (3 g/j), l’intervalle minimum entre les prises (6 heures) et la durée maximale de traitement recommandée (3 jours en cas de fièvre, 5 jours en cas de douleur, en l’absence d’ordonnance). Ces posologies sont bien sûr à adapter selon les situations cliniques (-50 kg, insuffisance hépatique légère à modérée, insuffisance rénale sévère, alcoolisme chronique…) Penser à toujours vérifier la présence de paracétamol dans les autres médicaments (utilisés pour douleurs, fièvre, allergies, symptômes du rhume ou état grippal).
Dans ce contexte d’épidémie de Covid-19, et en raison du risque lié à la prise d’anti-inflammatoires non stéroïdiens, et ce quel que soit le contexte infectieux, l’Agence nationale du médicament rappelle les règles de bonne prescription du paracétamol.
Bien prescrit, le paracétamol reste la molécule à privilégier en cas de douleur et/ou de fièvre, notamment dans un contexte d’infection. Cependant en cas de surdosage, il peut entraîner des lésions graves du foie, irréversibles dans certains cas ; la mauvaise utilisation du paracétamol est la 1re cause de greffe hépatique d’origine médicamenteuse en France. Le terme « surdosage » s’entend par l’utilisation d’un dosage non adapté, une dose trop importante par prise ou par jour, et un délai minimum entre les prises non respecté.
La dose la plus faible doit toujours être proposée au patient et sur une durée la plus courte possible.
Respecter la dose maximale par prise (1 g), la dose maximale quotidienne (3 g/j), l’intervalle minimum entre les prises (6 heures) et la durée maximale de traitement recommandée (3 jours en cas de fièvre, 5 jours en cas de douleur, en l’absence d’ordonnance). Ces posologies sont bien sûr à adapter selon les situations cliniques (-50 kg, insuffisance hépatique légère à modérée, insuffisance rénale sévère, alcoolisme chronique…)
Penser à toujours vérifier la présence de paracétamol dans les autres médicaments (utilisés pour douleurs, fièvre, allergies, symptômes du rhume ou état grippal).
Des rappels bien utiles en cette période de forte prescription….
COVID-19 : l’ANSM prend des mesures pour favoriser le bon usage du paracétamol