Les IEC provoquent un angiœdème neurotique dans moins de 1 % des cas par augmentation de la bradykinine. Ce dernier touche principalement les voies aériennes supérieures, par ordre de fréquence : les lèvres et la bouche (96 % des cas), la langue (72 %) et le larynx (13 %), responsable d’une dyspnée aiguë grave nécessitant une prise en charge en urgence.