Soins palliatifs : une trousse avec toutes les ressources

Le Centre national des soins palliatifs et de la fin de vie, en qualité de centre de référence, informe et communique sur les droits, dispositifs et démarches d’accompagnement de la fin de vie, en direction du grand public, patients, proches et professionnels. Panorama des ressources disponibles.

Recos 2023 sur les infections disco-vertébrales : que doit savoir le MG ?

L’infection disco-vertébrale est l’ostéomyélite hématogène la plus fréquente après 50 ans. Si la prise en charge est spécialisée, le MG doit connaître les signes, les drapeaux rouges et les explorations à réaliser. Le point sur les nouvelles recos de la Spilf avec le Dr Marion Lacasse, CHRU Bretonneau, Tours.

Tics et Gilles de la Tourette : quand traiter et comment ?

Les tics et surtout la maladie de Gilles de la Tourette (tics multiples et chroniques) sont plus fréquents qu’on ne le pense (l’enchaînement de gros mots n’est pas un critère diagnostique !) et souvent accompagnés de troubles psychiatriques de sévérité très variable. Évolution, comorbidités, approches…

Dermatoscopie en MG : pourquoi ? comment ?

Les délais pour obtenir un rendez-vous dermatologique étant de plus en plus longs, cette pratique se développe en médecine générale. Le dermoscope – outil simple et non invasif – permet d’identifier plus sûrement les lésions, en particulier cancéreuses – pour apprécier s’il faut rassurer le patient ou solliciter un…

Fièvre hémorragique de Crimée-Congo : faut-il s’inquiéter ?

L’Anses vient d’alerter sur le risque d’émergence de cette zoonose en France. L’extension de sa distribution géographique, liée surtout au réchauffement climatique, et la présence avérée d’infections humaines en Espagne incitent en effet à la vigilance, alors que son principal vecteur est déjà présent en France (tiques du genre…

Infarctus de la femme : des gènes et facteurs de risque identifiés

La dissection spontanée de l’artère coronaire est impliquée dans environ un tiers des infarctus de femmes de moins de 50 ans, sans facteur de risque connu. Une étude de l’Inserm a permis d’éclairer les causes de cette pathologie quasi-exclusivement féminine.