1 Les affections cardiovasculaires sont plus fréquentes et plus graves chez les patients cancéreux que dans la population générale.
2 Les maladies cardiovasculaires sont une cause majeure de morbi-mortalité chez les adultes et les enfants ayant survécu à un cancer, juste derrière les récidives tumorales ou parfois devant.
3 La pathogénie des atteintes cardiovasculaires chez les patients cancéreux est complexe, liée à l’interaction de la cardiotoxicité des traitements anticancéreux, du cancer lui-même et des facteurs de risque ou de maladie cardiovasculaire préexistants.
4 Les complications cardiovasculaires des traitements anticancéreux sont dominées par l’insuffisance cardiaque secondaire aux chimiothérapies.
5 La principale complication cardiovasculaire de la radiothérapie thoracique est la coronaropathie, survenant souvent des dizaines d’années après le traitement.
6 La prise en charge de cette nouvelle population de patients doit être améliorée, et le médecin traitant a un rôle majeur dans le cadre du parcours de soins.
7 La mise en place d’unités et d’équipes de cardio-oncologie doit être favorisée pour développer des programmes de suivi, coordonner la recherche et servir de recours.
8 Une évaluation du risque cardiovasculaire doit être réalisée avant tout traitement anticancéreux.
9 Parallèlement au suivi oncologique, les patients à risque doivent bénéficier d’une surveillance cardiovasculaire.
10La recherche dédiée doit être développée, en particulier pour rechercher des médicaments anticancéreux à faible risque cardiovasculaire et des médicaments cardioprotecteurs efficaces chez les patients à haut risque cardiovasculaire.
2 Les maladies cardiovasculaires sont une cause majeure de morbi-mortalité chez les adultes et les enfants ayant survécu à un cancer, juste derrière les récidives tumorales ou parfois devant.
3 La pathogénie des atteintes cardiovasculaires chez les patients cancéreux est complexe, liée à l’interaction de la cardiotoxicité des traitements anticancéreux, du cancer lui-même et des facteurs de risque ou de maladie cardiovasculaire préexistants.
4 Les complications cardiovasculaires des traitements anticancéreux sont dominées par l’insuffisance cardiaque secondaire aux chimiothérapies.
5 La principale complication cardiovasculaire de la radiothérapie thoracique est la coronaropathie, survenant souvent des dizaines d’années après le traitement.
6 La prise en charge de cette nouvelle population de patients doit être améliorée, et le médecin traitant a un rôle majeur dans le cadre du parcours de soins.
7 La mise en place d’unités et d’équipes de cardio-oncologie doit être favorisée pour développer des programmes de suivi, coordonner la recherche et servir de recours.
8 Une évaluation du risque cardiovasculaire doit être réalisée avant tout traitement anticancéreux.
9 Parallèlement au suivi oncologique, les patients à risque doivent bénéficier d’une surveillance cardiovasculaire.
10La recherche dédiée doit être développée, en particulier pour rechercher des médicaments anticancéreux à faible risque cardiovasculaire et des médicaments cardioprotecteurs efficaces chez les patients à haut risque cardiovasculaire.