1 La rhinosinusite aiguë de l’enfant ne relève habituellement que des soins locaux.
2 L’ethmoïdite, avec son risque d’abcédation intra- orbitaire, reste la complication la plus sérieuse de la rhinosinusite de l’enfant. Elle justifie hospitalisation, antibiothérapie, surveillance rapprochée, voire drainage chirugical.
3 La constatation à la rhinoscopie de polypes chez un enfant doit faire évoquer le diagnostic de mucoviscidose.
4 Une rhinosinusite doit être systématiquement recherchée chez un enfant atteint de mucoviscidose. Elle constitue en effet un réservoir bactérien, source de réinfection bronchopulmonaire, et doit être impérativement traitée.
5 Une rhinosinusite peut constituer, chez l’adulte notamment, un mode révélateur de mucoviscidose atypique.
6 La théorie « phylo-ontogénique » individualise des formes cliniques propres aux trois nez qui se sont assemblés au cours de l’évolution des espèces et de l’embryogenèse humaine pour constituer le nez humain.
7 Ainsi devrait-on distinguer la rhinite respiratoire, par exemple allergique, la sinusite infectieuse bactérienne ou dentaire, et la polypose nasale, archétype de la rhinite chronique olfactive.
8 La polypose nasale entretient des relations pathogéniques mal élucidées avec l’intolérance aux anti-inflammatoires non stéroïdiens et avec l’asthme (définissant le syndrome de Widal).
9 Le traitement de la polypose nasale repose d’abord et avant tout sur les soins nasaux locaux et sur la corticothérapie générale et locale.
10 La chirurgie endoscopique endonasale de la polypose doit être envisagée en cas d'échec de trois cures de corticoïdes.
2 L’ethmoïdite, avec son risque d’abcédation intra- orbitaire, reste la complication la plus sérieuse de la rhinosinusite de l’enfant. Elle justifie hospitalisation, antibiothérapie, surveillance rapprochée, voire drainage chirugical.
3 La constatation à la rhinoscopie de polypes chez un enfant doit faire évoquer le diagnostic de mucoviscidose.
4 Une rhinosinusite doit être systématiquement recherchée chez un enfant atteint de mucoviscidose. Elle constitue en effet un réservoir bactérien, source de réinfection bronchopulmonaire, et doit être impérativement traitée.
5 Une rhinosinusite peut constituer, chez l’adulte notamment, un mode révélateur de mucoviscidose atypique.
6 La théorie « phylo-ontogénique » individualise des formes cliniques propres aux trois nez qui se sont assemblés au cours de l’évolution des espèces et de l’embryogenèse humaine pour constituer le nez humain.
7 Ainsi devrait-on distinguer la rhinite respiratoire, par exemple allergique, la sinusite infectieuse bactérienne ou dentaire, et la polypose nasale, archétype de la rhinite chronique olfactive.
8 La polypose nasale entretient des relations pathogéniques mal élucidées avec l’intolérance aux anti-inflammatoires non stéroïdiens et avec l’asthme (définissant le syndrome de Widal).
9 Le traitement de la polypose nasale repose d’abord et avant tout sur les soins nasaux locaux et sur la corticothérapie générale et locale.
10 La chirurgie endoscopique endonasale de la polypose doit être envisagée en cas d'échec de trois cures de corticoïdes.