1
Le prolapsus génito-urinaire est une hernie de la paroi vaginale due à une faiblesse des structures de soutien.
2
C’est un problème de santé publique en raison de l’augmentation de l’espérance de vie et des revendications de qualité de vie exigées par les femmes vieillissantes.
3
Le prolapsus est une pathologie fonctionnelle qui entraîne une symptomatologie qui varie essentiellement en fonction de l’organe prolabé et du grade du prolapsus, intravaginal ou extériorisé.
4
L’interrogatoire et l’examen clinique sont les éléments clés du diagnostic. Les examens complémentaires, imagerie et examen urodynamique, ne sont pas systématiques. Ils sont demandés avant le traitement chirurgical pour compléter la clinique si besoin.
5
Le traitement est d’autant plus délicat qu’il ne doit pas induire de complications ou d’autres troubles fonctionnels comme une incontinence urinaire ou une constipation rebelle.
6
Le traitement médical est un traitement de première intention ou d’attente. La prise en compte des facteurs de risque et les règles hygiéno-diététiques restent importantes quel que soit le traitement.
7
La rééducation s’adresse aux prolapsus non extériorisés, à l’incontinence urinaire ou anale qui peut être associée. Elle doit être faite avec une patiente motivée et active. Elle ne corrige pas l’anatomie mais peut améliorer de façon significative la gêne fonctionnelle et éviter ou retarder l’intervention chirurgicale.
8
Le pessaire est un dispositif efficace, facile d’utilisation et bien toléré. Le taux de satisfaction des patientes est élevé pour un taux de complications minime.
9
La promontofixation par voie cœlioscopique est le traitement chirurgical de référence mais le recours à la voie vaginale se pose chez les patientes âgées et pour certaines formes de prolapsus.
10
Il est important que toutes les techniques puissent être envisagées. Il convient donc que le groupe de praticiens en charge de cette pathologie maîtrise les différentes voies d’abord de façon à adapter la technique à la patiente et à la pathologie.
Le prolapsus génito-urinaire est une hernie de la paroi vaginale due à une faiblesse des structures de soutien.
2
C’est un problème de santé publique en raison de l’augmentation de l’espérance de vie et des revendications de qualité de vie exigées par les femmes vieillissantes.
3
Le prolapsus est une pathologie fonctionnelle qui entraîne une symptomatologie qui varie essentiellement en fonction de l’organe prolabé et du grade du prolapsus, intravaginal ou extériorisé.
4
L’interrogatoire et l’examen clinique sont les éléments clés du diagnostic. Les examens complémentaires, imagerie et examen urodynamique, ne sont pas systématiques. Ils sont demandés avant le traitement chirurgical pour compléter la clinique si besoin.
5
Le traitement est d’autant plus délicat qu’il ne doit pas induire de complications ou d’autres troubles fonctionnels comme une incontinence urinaire ou une constipation rebelle.
6
Le traitement médical est un traitement de première intention ou d’attente. La prise en compte des facteurs de risque et les règles hygiéno-diététiques restent importantes quel que soit le traitement.
7
La rééducation s’adresse aux prolapsus non extériorisés, à l’incontinence urinaire ou anale qui peut être associée. Elle doit être faite avec une patiente motivée et active. Elle ne corrige pas l’anatomie mais peut améliorer de façon significative la gêne fonctionnelle et éviter ou retarder l’intervention chirurgicale.
8
Le pessaire est un dispositif efficace, facile d’utilisation et bien toléré. Le taux de satisfaction des patientes est élevé pour un taux de complications minime.
9
La promontofixation par voie cœlioscopique est le traitement chirurgical de référence mais le recours à la voie vaginale se pose chez les patientes âgées et pour certaines formes de prolapsus.
10
Il est important que toutes les techniques puissent être envisagées. Il convient donc que le groupe de praticiens en charge de cette pathologie maîtrise les différentes voies d’abord de façon à adapter la technique à la patiente et à la pathologie.