La vitamine D est aujourd’hui consensuellement considérée comme le précurseur d’une hormone plutôt que comme une vitamine. Si son rôle sur la santé osseuse, et plus particulièrement sur la prévention du rachitisme carentiel, est connu depuis longtemps, le fait que le récepteur de la vitamine D (VDR) soit exprimé par de très nombreux tissus, qu’un modèle murin de délétion du gène codant pour le VDR ait montré qu’en plus d’un rachitisme hypocalcémique et hypophosphatémique ces souris pouvaient développer des pathologies non osseuses et subir un vieillissement accéléré, et que des organismes dépourvus de tissus calcifi és, comme la lamproie marine, expriment le VDR et utilisent la vitamine D ont ouvert la voie à l’évaluation de possibles effets non osseux de la vitamine D.
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