En pédopsychiatrie, la prescription médicamenteuse n’est pas le premier recours !
Nous avons construit ce dossier à l’adresse des médecins généralistes et des pédiatres, autour de la prescription médicamenteuse. La prescription n’est pas le premier recours en psychiatrie de l’enfant ; elle passe toujours au second plan par rapport à l’abord psychosocial ou rééducatif de l’enfant et de sa famille. Elle est le plus souvent débutée par le pédopsychiatre, mais volontiers prolongée par le médecin traitant. Il est donc important que généralistes et pédiatres soient à jour. De ce point de vue, le Pediatric Act nous permet aujourd’hui d’avoir des données beaucoup plus solides.
Nous avons choisi de le faire en parcourant les grandes classes médicamenteuses qui peuvent faire l’objet de prescriptions prolongées : antidépresseurs, antipsychotiques et psychostimulants. L’encadré sur le syndrome de Prader-Willi met également en lumière, à propos d’un exemple rare et assez spécifique, le concept de psychopharmacologie développementale.
Enfin, il nous paraissait indispensable d’évoquer les innovations en pratique psychothérapique et les alternatives non médicamenteuses puisque, comme cela est rappelé dans les 10 messages clés, c’est toujours le soin relationnel qui est la pierre angulaire du traitement de l’enfant et de sa famille.
Nous avons choisi de le faire en parcourant les grandes classes médicamenteuses qui peuvent faire l’objet de prescriptions prolongées : antidépresseurs, antipsychotiques et psychostimulants. L’encadré sur le syndrome de Prader-Willi met également en lumière, à propos d’un exemple rare et assez spécifique, le concept de psychopharmacologie développementale.
Enfin, il nous paraissait indispensable d’évoquer les innovations en pratique psychothérapique et les alternatives non médicamenteuses puisque, comme cela est rappelé dans les 10 messages clés, c’est toujours le soin relationnel qui est la pierre angulaire du traitement de l’enfant et de sa famille.
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