Fièvre chez l’enfant : quel est le meilleur test pour confirmer une infection bactérienne ? 

Devant une fièvre de l’enfant, les dosages de certains biomarqueurs de l’inflammation comme la CRP peuvent être utilisés pour discriminer une infection bactérienne d’une virale et éviter la prescription inutile d’antibiotiques. Une méta-analyse, parue dans le Lancet, fait le point sur leurs performances diagnostiques. 

Paracétamol pendant la grossesse et sur-risque d’autisme et de TDAH : une étude d’envergure nationale

Plusieurs études de cohorte ont suggéré une association entre la prise de paracétamol pendant la grossesse et l’apparition de troubles neurodéveloppementaux chez l’enfant (autisme, TDAH ou déficience intellectuelle), mais le lien causal n’a pas été démontré. Une vaste étude suédoise, incluant 2 480 797 enfants,…

Aménorrhée : des risques avérés en l’absence de prise en charge !

L’aménorrhée concerne 3 à 4 % des femmes en âge de procréer. Elle impose toujours une enquête pour rechercher la cause. Si un déficit estrogénique est responsable, il faut le compenser, car il est associé à un risque d’ostéoporose et cardiovasculaire. Bilan, examens complémentaires, prise en charge… la conduite à tenir en MG,…

Allergies aux fruits à coque

La prévalence de l’allergie aux fruits à coque ne cesse de croître. La nature des allergènes responsables conditionne la sévérité des manifestations cliniques et la possibilité d’allergies croisées. Quel bilan pratiquer en MG ? Quelles solutions ?

Certains médicaments courants influent sur le pronostic du cancer du sein

Une large étude de cohorte française, portant sur plus de 200 000 femmes ayant un cancer du sein, trouve une association (positive ou négative) entre la prise de 16 médicaments (non oncologiques) avant le diagnostic de cancer et la survie sans progression ou la survie globale des patientes. Les résultats…

Fièvre hémorragique de Crimée-Congo en France : les recos du HCSP

Des cas autochtones de fièvre hémorragique de Crimée-Congo (FHCC) deviennent possibles en France, en raison de l’extension dans le sud du pays de son vecteur principal, la tique Hyalomma (active au printemps et en été). Le Haut Conseil de santé publique a élaboré des recos pour les soignants.