Goutte : un surrisque cardiovasculaire après les crises

Touchant près de 1 % de la population française en 2013, la goutte est l’arthropathie inflammatoire la plus fréquente dans les pays occidentaux. Cette pathologie est connue pour son association avec les maladies et la mortalité cardiovasculaires.Cependant, la temporalité de cette corrélation n’était pas jusqu’alors connue.Une étude…

Une méthode efficace pour réduire le temps passé assis au travail

Les employés de bureau sont une des populations les plus sédentaires, passant 73 % de leur temps de travail et 66 % de leurs journées assis. Pour diminuer ce temps passé assis, positivement corrélé à un risque plus élevé de maladies cardiovasculaires, de dépression ou encore de faible qualité de vie, des chercheurs anglais ont…

La mammographie pour évaluer le risque cardiovasculaire des femmes !

La mammographie permet la détection des calcifications des artères mammaires. Or ces calci­fications seraient associées, chez les femmes, à une augmentation du risque d’événement cardio­vasculaire, selon deux récentes études complé­mentaires.Une première étude, rétrospective – dont les résul­tats sont parus en février dans European…

Crise d’asthme : associer les corticoïdes au salbutamol ?

L’asthme touche près de 4 millions de personnes et cause environ 1 000 décès par an en France. Si le traitement de la crise repose sur les bronchodilatateurs à courte durée d’action tels que le salbutamol (albutérol, Ventoline), les corticoïdes inhalés comme le budésonide sont le pilier du traitement de fond, en réduisant l…

Efficacité du baricitinib confirmée dans la pelade

Caractérisée par une perte des cheveux par plaques, la pelade peut causer une grande détresse, d’autant plus que les traitements actuels – injections de glucocorticoïdes au niveau des plaques d’alopécie ou application de minoxidil sur le cuir chevelu – ont une efficacité limitée. La pathogenèse est en partie connue : elle est liée à…

Le scanner corporel à la place des biopsies cutanées ?

Lorsqu’un cancer de la peau est suspecté, le dermatologue réalise une biopsie cutanée, pour déterminer s’il s’agit ou non d’une lésion tumorale. En effet, seule une biopsie de peau identifie une tumeur maligne. Pourtant, cet acte réalisé sous anesthésie locale reste invasif.Pour limiter les biopsies inutiles, des chercheurs…