La médecine connectée au service de la fibrillation atriale

Depuis le début des années 2010, les technologies numériques ont trouvé de nombreuses applications en cardiologie. La médecine connectée, ou santé digitale qui en résulte, utilise les technologies de l’information et de la communication pour colliger, partager et analyser les données médicales, dans le but d’améliorer la santé des…

Analyser l’observance aux traitements avec bienveillance

L’observance des traitements à long terme, définie par l’adéquation entre les comportements des patients et les prescriptions médicales, peut être analysée du point de vue de l’intentionnalité, c’est-à-dire du rôle de la formation d’une intention dans la décision d’accomplir un geste thérapeutique, comme celui de prendre un comprimé…

Recherche de modèles pour évaluer la toxicité médicamenteuse hépatique

La prise de médicaments n’est pas dénuée de risques (82 000 événements indésirables déclarés en 2017), en particulier dans un contexte de maladie chronique, de spécificités génétiques ou épigénétiques, de mésusage ou de défaut d’observance des prescriptions médicales. Le foie, organe central du métabolisme des xénobiotiques, dont…

Vers l’abandon des chirurgies prothétiques en uro-gynécologie ?

En uro-gynécologie, les prothèses regroupent tous les implants médicaux qui contribuent à la prise en charge de l’incontinence urinaire ou du prolapsus génital. Elles incluent les bandelettes sous-urétrales, dont la plus connue est la Tension-free vaginal tape, et les prothèses posées au contact du vagin. Si ces deux types de…

Avancées thérapeutiques dans la mucoviscidose

La mucoviscidose est une maladie monogénique affectant environ 7 300 patients en France. Plus de 2 000 mutations dans le gène CFTR, qui code pour un canal épithélial transporteur d’ions chlorure et bicarbonate, conduisent à la production d’un mucus déshydraté et visqueux qui altère les fonctions respiratoire et pancréatique. La…

Le temps de conservation des greffons appelé à devenir un temps d’évaluation

La greffe reste le traitement de dernier recours en cas de défaillance terminale d’un organe vital (poumon, foie, coeur, intestin) ou non vital (essentiellement le rein et le pancréas) en l’absence de traitement supplétif. Elle reste la meilleure alternative, qu’il s’agisse de qualité et d’espérance de vie ou de dépenses de santé…