Parmi tous les patients hypertendus, 10 % ont une HTA « secondaire », potentiellement réversible après traitement de la cause, ce qui est loin d’être anecdotique. Sa recherche n’est pas systématique, mais s’impose dans des situations cliniques bien précises.

Maîtriser parfaitement les nomenclatures des actes en médecine générale n’est pas toujours évident. Un médecin généraliste et ingénieur a conçu une application pour vous aider à optimiser la cotation.

La crise des opioïdes que subissent les États-Unis depuis quelques décennies – véritable épidémie responsable d’environ 100 000 décès annuels par surdose en 2021 et 2022 – ne touche pas que les adultes.

La SEP est la maladie inflammatoire démyélinisante la plus répandue dans les pays industrialisés ; son incidence semble augmenter, surtout chez les femmes.

Les fibromes utérins touchent plus de 50 % des femmes de plus de 30 ans.

À partir de fin mai 2023, la pipette de prélèvement fournie avec Théralène 4 % solution buvable sera graduée en mg, et non plus en gouttes. L’ANSM alerte sur les risques d’erreur médicamenteuse et rappelle les règles de bon usage.

Une nouvelle étude de la Drees brosse un portrait sombre de la démographie médicale en soins primaires, tout particulièrement en médecine générale.

La rhinite et la conjonctivite sont des pathologies fréquemment rencontrées en pratique de ville, quel que soit l’âge du patient. Faire la part entre l’allergie et les autres causes possibles n’est pas toujours simple, les diagnostics différentiels étant nombreux.

L’acidose lactique est un effet indésirable connu de la metformine, dont les conséquences peuvent être fatales en cas de prise en charge tardive. L’ANSM rappelle les situations qui peuvent favoriser son apparition et les signes qui doivent conduire à une consultation urgente. 

Des chercheurs ont développé une première interface cerveau-machine non invasive décodant le langage pensé. Fondée sur l’IRM fonctionnelle, elle devine les pensées verbalisées d’une personne après quelques heures d’entraînement.

En cas d’angines à répétition, faut-il proposer une amygdalectomie ? Les recos chez les adultes ne sont pas bien établies, et l’efficacité clinique de cette intervention mal évaluée dans cette population...

Très fréquente, la constipation des tout-petits est pénible pour les enfants et sujet d’inquiétude pour les parents. Après avoir exclu les rares causes organiques (attention aux pièges !), des remèdes simples et efficaces existent, mais ils sont trop souvent mal utilisés.

Parmi les dispositions de la loi Rist qui vient d’être promulguée, deux nouvelles compétences octroyées aux pédicures-podologues permettent aux patients de se voir prescrire directement par ces derniers des orthèses plantaires et, pour les diabétiques, les séances de soins de prévention podologique.

Clostridioides difficile est un bacille à Gram positif anaérobie sporulé responsable d’un large spectre d’infections digestives dont les complications peuvent être parfois mortelles. Les récidives sont fréquentes (20 à 25 % des patients).

Les séjours climatiques dans des centres spécialisés en altitude étaient au XIXe siècle et durant une grande partie du XXe une thérapie de choix pour les patients asthmatiques.

L’acné d’apparition tardive, chez les femmes de plus de 25 ans, a une présentation clinique, une évolution et une physiopathologie particulières ; son traitement peut être difficile.

Le stylo auto-injecteur d’adrénaline Emerade fait l’objet d’un arrêt de distribution temporaire au niveau mondial en raison de dysfonctionnements, depuis le mois de mai. Par conséquent, les autres spécialités (Anapen, Epipen et Jext) sont en tension d’approvisionnement.

De nouvelles recos sur le pneumothorax viennent d’être éditées par la SPLF : elles mettent l’accent sur sa prise en charge en ambulatoire, dans certaines conditions. Que doit savoir le MG ? Quand évoquer le diagnostic ?

La Société française de pharmacologie et thérapeutique (SFPT) alerte sur les risques liés à l’augmentation récente de l’utilisation de l’oxycodone pour traiter la douleur chronique.

L’OMS recommande de ne pas employer les édulcorants – aspartame, stévia, acésulfame-K, saccharine, sucralose… – dans l’objectif de perdre du poids et de réduire le risque métabolique. Les raisons ?