Mr N. âgé de 76 ans vous consulte pour œdèmes des membres inférieurs depuis un mois. Dans ses antécédents, il rapporte un diabète de type 2 non insulino-dépendant sous Metformine, régulièrement suivi sans rétinopathie diabétique, une hypertension artérielle traitée par bêta-bloquants, une cardiopathie ischémique stentée, traitée par Aspirine et un tabagisme sevré à 50 paquets-année.
Votre examen met en évidence des œdèmes plutôt déclives, blancs, mous, indolores, bilatéraux symétriques prenant le godet. Pas de signes cutanés, neurologiques ou musculo-squelettiques.
Il pèse 92 kg, sa tension artérielle est mesurée à 170/90 mm Hg.
Son bilan biologique met en évidence une anémie à 10,8 g/dL, une créatininémie à 85 umol/L, une albuminémie à 17g/L, un taux de prothrombine à 95%. Le bilan urinaire met en évidence une protéinurie à 15 g/g de créatininurie. Il n’existe ni leucocyturie, ni hématurie à la bandelette urinaire.
Votre examen met en évidence des œdèmes plutôt déclives, blancs, mous, indolores, bilatéraux symétriques prenant le godet. Pas de signes cutanés, neurologiques ou musculo-squelettiques.
Il pèse 92 kg, sa tension artérielle est mesurée à 170/90 mm Hg.
Son bilan biologique met en évidence une anémie à 10,8 g/dL, une créatininémie à 85 umol/L, une albuminémie à 17g/L, un taux de prothrombine à 95%. Le bilan urinaire met en évidence une protéinurie à 15 g/g de créatininurie. Il n’existe ni leucocyturie, ni hématurie à la bandelette urinaire.
Comment définissez-vous le syndrome glomérulaire de ce patient ?