Vous recevez en consultation de rhumatologie Mme X., 68 ans, que vous suivez depuis une dizaine d’années pour une polyarthrite rhumatoïde immuno-positive.
Elle est également suivie pour une hypertension artérielle sous amlodipine 5 mg/j et une dyslipidémie sous atorvastatine 10 mg/j.
Depuis le diagnostic, elle est sous méthotrexate 20 mg par semaine et prednisone (Cortancyl 5 mg/j) avec un bon contrôle de la maladie.
Elle vous consulte car, depuis trois mois, elle note une recrudescence de ses douleurs articulaires, touchant notamment les mains, poignets, articulations métacarpo-phalangiennes (MCP), articulation interphalangienne proximale (IPP) et les pieds.
Elle est également suivie pour une hypertension artérielle sous amlodipine 5 mg/j et une dyslipidémie sous atorvastatine 10 mg/j.
Depuis le diagnostic, elle est sous méthotrexate 20 mg par semaine et prednisone (Cortancyl 5 mg/j) avec un bon contrôle de la maladie.
Elle vous consulte car, depuis trois mois, elle note une recrudescence de ses douleurs articulaires, touchant notamment les mains, poignets, articulations métacarpo-phalangiennes (MCP), articulation interphalangienne proximale (IPP) et les pieds.
Question 1 - Parmi les éléments suivants, lequel/lesquels vous orienterai(en)t plutôt vers une poussée inflammatoire de son rhumatisme chronique ?
On considère comme inflammatoire un dérouillage matinal qui dure trente, voire quarante-cinq minutes.
Prédominance nocturne et matinale des douleurs lorsqu’elles sont inflammatoires, en fin de journée lorsqu’elles sont mécaniques.
Liquide mécanique (< 2 000 éléments/mm3).
Caractéristique inflammatoire.
On distingue les douleurs d’horaire mécanique des douleurs d’horaire inflammatoire par les éléments suivants :