Naissance du métier de sage-femme
Plaies de la main : les 8 messages clés
2 - Quatre tableaux cliniques méritent...
Organisation des services SOS mains et rôle de la Fédération des services d’urgences de la main
Répercussions psychosociales des accidents de la main et accompagnement des patients
Otorrhée de l’enfant : quelles causes ?
Prévention des risques fœtaux Infections, médicaments, toxiques, irradiation
Cancers : comprendre les causes pour mettre en œuvre la prévention
Sérologie CMV pendant la grossesse : pas de consensus
Humex, Actifed, Nurofen... : nouvelles CI et mises en garde (alerte ANSM)
Sécurité routière : la situation de mon patient est-elle à risque ?
Accompagner les femmes enceintes vulnérables : 6 fiches de la HAS
Recommandations vaccinales pour les patients adultes transplantés d’organes solides, en pré- et en post-transplantation
Profil de l’assiette du sportif en fonction des différents objectifs souhaités
Critères diagnostiques du syndrome de Gilles de la Tourette selon le DSM- 5
Ischémie médullaire
Une IRM médullaire est réalisée en urgence, mettant en évidence une anomalie de signal centromédullaire étendue de T4 à T6 en hypersignal T2 – réalisant un aspect en « œil de hibou » –, avec une restriction en diffusion et sans prise de contraste après injection de gadolinium (fig. 1).
Le bilan étiologique est complété par une IRM cérébro-orbitaire, à la recherche d’anomalies évocatrices de sclérose en plaques ou de neuromyélite optique, revenue sans anomalie. L’examen ophtalmologique est également normal, ainsi que l’analyse du liquide cérébrospinal.
Une IRM de contrôle est réalisée à J20, montrant une évolution de la myélite vers une cavitation avec atrophie médullaire (fig. 2).
L’installation brutale du déficit, l’absence d’anomalies associées et l’aspect radiologique sur les IRM initiale et de contrôle permettent d’évoquer une origine ischémique de cette myélite du territoire spinal antérieur.
Acouphènes subjectifs
L’acouphène est un symptôme oto-neurologique défini comme « une sensation auditive sans stimulation sonore extérieure, qui peut être vécue comme une expérience désagréable pouvant impacter la qualité de vie ».1 Deux types d’acouphènes sont couramment décrits : ceux, rares et parfois enregistrables,...
Épilepsie de la personne âgée
L’épilepsie se définit par la survenue transitoire de signes et/ou de symptômes cliniques dus à une activité neuronale cérébrale excessive et anormalement synchrone. Elle se manifeste par des symptômes neurologiques (altération de la conscience, signes moteurs, signes sensoriels), des signes...
Transplantation pulmonaire
Premier bilan d’infertilité
L’Organisation mondiale de la santé définit l’infertilité par l’absence de grossesse après plus de douze mois de rapports sexuels réguliers sans contraception.1
L’infertilité concerne un couple sur cinq, et l’âge maternel est un facteur pronostique important.
Acouphènes : Que dire à vos patients ?
Sport : un risque accru d’exposition à l’alcool
Recommandations sur l’alimentation, l’activité physique et la sédentarité
Rôle du médecin dans la détection des homicides
Un certain nombre d’homicides pourrait passer sous le radar des institutions : on parle d’homicides non détectés ou ignorés. Il s’agit de meurtres et assassinats dont la nature criminelle n’est pas perçue, et qui passent de fait pour des suicides, accidents, ou morts naturelles. Ainsi, il se...