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Un homme de 30 ans vient en consultation. Il se plaint d’une gêne au niveau de l’œil droit ainsi que de la paupière inférieure droite. Il est suivi pour un diabète de type 1 depuis l’âge de 11 ans bien équilibré, suivi par son médecin traitant une fois par an.
Un homme de 30 ans vient en consultation. Il se plaint d’une gêne au niveau de l’œil droit ainsi que de la paupière inférieure droite. Il est suivi pour un diabète de type 1 depuis l’âge de 11 ans bien équilibré, suivi par son médecin traitant une fois par an.
Question 1 - L’étudiant en médecine qui effectue son stage de sémiologie pense qu’il s’agit d’un ectropion.
Si vous suspectez un ectropion de l’œil droit, vous recherchez pendant votre entretien et votre examen clinique :
Si vous suspectez un ectropion de l’œil droit, vous recherchez pendant votre entretien et votre examen clinique :
Une ou plusieurs proposition(s) est ou sont exacte(s).
L’ectropion favorise l’évaporation des larmes.
L’ectropion peut empêcher l’œil de se fermer.
Une cicatrisation pathologique d’une plaie de la paupière peut être responsable d’un ectropion.
La bascule du point lacrymal peut entraîner un larmoiement.
Un ectropion peut entraîner une exposition cornéenne chronique responsable d’une kératite ponctuée superficielle.
La cause la plus fréquente d’ectropion est l’âge. Celui-ci entraîne un relâchement des tissus. Parfois, l’ectropion devient tellement important qu’il entraîne une bascule du méat lacrymal et provoque un larmoiement. Vu que les larmes ne tiennent pas sur la surface oculaire, l’œil sèche, il apparaît alors une kératite ponctuée superficielle.